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Un précédent projet d’environnement virtuel explorable : « The skin of ruins »

   

    L’œuvre propose au visiteur un voyage virtuel à la découverte d'un monde autogénérateur, en constante évolution pour une durée indéterminée. Dans la continuité des recherches doctorales de F. Léaustic, le travail s'inspire de son installation « RUINES » présentée au CENTQUATRE-Paris lors de la Biennale Nemo en 2017, impliquant le phytoplancton, organisme unicellulaire à l'origine de la création de la vie. Grâce à une répétition infinie de cycles aléatoires sur lesquels le visiteur peut agir, les artistes apportent à cet univers une des caractéristiques fondamentales du vivant : aucun d'entre eux n'a de certitude quant à l'évolution de cet univers après sa mise en ligne.

   

    Cette œuvre, que l’artiste a voulu vivante, cherche à questionner notre vision du monde, c'est-à-dire à nous faire sortir de l'impasse d'une vision anthropocentrique de notre rapport à l'environnement sur lequel nous agissons et vice-versa. Ce nouveau territoire est construit à partir des données recueillies grâce à l'étude du phytoplancton à travers les expositions successives de « Ruines » et des données du laboratoire de biotechnologie de l'Université Polytechnique de Madrid, qui se concentre sur l'étude des capacités dépuratives de ces algues pour purifier l'air et l'eau avec lesquels elles entrent en contact.
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« The skin of ruins »