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Dans la presse : 
Dans l’un des ateliers du CentQuatre, le temps semble se suspendre. Le visiteur observe de véritables tableaux vivants : la couleur des monolithes géants de Fabien Léaustic évolue tout au long de l’exposition en fonction de l’évolution de phytoplanctons qui les recouvrent. En effet, ils réagissent à l’air, à la température, aux particules drainées par les spectateurs, et plongent ceux-ci dans un univers de sculptures vivantes vertes et apaisantes.

Extrait d'un article de Nathalie Degardin pour 
www.exterieursdesignmagazine.fr
Le pari «est d’exploiter le hasard pour montrer que le résultat d’une œuvre, parfois imprévisible, n’est pas forcément reproductible», précise José-Manuel Gonçalvès. Par exemple, on peut se demander à quoi ressemblera, dans trois mois, l’installation Ruines de Fabien Léaustic, constituée de phytoplanctons. Par son caractère organique, cette œuvre sera en perpétuelle évolution et son résultat indéniablement en proie au hasard.

Extrait d'un article de Victoire Chabert pour 
www.toutelaculture.com
Les réalisations de Fabien Leaustic sont ainsi des processus en cours, qui n’occupent plus seulement l’espace mais aussi le temps de l’exposition, questionnant la pérennité de l’œuvre.

Extrait du texte de Marine Relinger pour le catalogue "En formes de vertiges" - Révélation EMERIGE, en 2017.